vendredi 3 février 2012

Voyage à Cayo Coco: les attraits

Quelques incontournables à ne pas manquer

Cayo Coco et Cayo Guillermo
Pour en savoir davantage sur les enjeux écologiques liés au développement touristique de l'île, rendez-vous au Centro de Investigación de Ecosistemas Costeros , à l'entrée de Cayo Coco, près de la rotonde. Administré par le ministère des Sciences de Cuba, cet organisme étudie l'écosystème de Cayo Coco afin de le protéger. 



Pêche
Sur le chemin de Cayo Coco, à 12 km de Morón, la Laguna La Redonda est un lieu de pêche réputé, notamment pour la truite. Des excursions de pêche en bateau sont organisées. N'oubliez pas d'apporter votre insectifuge, sinon vous serez la proie des moustiques! 



Plongée sous-marine
Le Coco Diving Center, à côté de l'Hotel Blau Colonial, organise plusieurs sorties par jour. Cayo Coco est bordée par une barrière de corail de 32 km sur laquelle on a marqué près de 20 sites de plongée. Les prix demandés sont en fonction du nombre d'immersions. Le centre offre la certification ACUC (American Canadian Underwater Certification). Le Diving Center de Cayo Guillermo, affilié à la Marina Cayo Guillermo, est situé juste à côté de la Villa Cojimar. Il s'agit peut-être du centre de plongée le plus agréable et le plus chaleureux du nord de la province. Le personnel y fait toute la différence. Le centre organise plusieurs sorties par jour.

Excursions en mer
Le Cayo Guillermo Fishing Club (Marina Cayo Guillermo, organise des voyages de pêche.

La Trocha Morón-Júcaro
Un peu au nord de Ciego de Ávila, à environ 7 km de la ville, sur la route secondaire qui mène à Morón, on peut voir les vestiges les plus éloquents de la trocha, un impressionnant système défensif sophistiqué, construit par les Espagnols durant la guerre d'Indépendance de 1868-1878.

Morón
Si vous souhaitez donner un aspect plus authentique à votre voyage à Cuba, n'hésitez pas à vous rendre à Morón, une petite ville de campagne tranquille, aussi appelée La Ciudad del Gallo (la ville du coq).



À votre arrivée, vous remarquerez devant l'Hotel Morón un clocher moderne coiffé d'un coq, une tradition qui vient d'une ville espagnole, Morón de la Frontera. La partie la plus intéressante de la ville se trouve tout le long de  l'Avenida Martí et des rues adjacentes, entre le Parque Agramonte et le Parque Martí. Environ 1 km sépare les deux parcs, et, de chaque côté des artères qui les joignent, on peut voir d'incroyables constructions d'un style éclectique des plus éclatés. Le Parque Agramonte est le plus vieux parc de la ville.



Inauguré au début du XIXe siècle, il s'entoure de certaines des plus anciennes constructions de la ville. Son délabrement ajoute étrangement à son charme. Devant une gigantesque ceiba plantée en 1902 pour solenniser la naissance de la République, l'Iglesia Católica se tient toujours fièrement debout, comme indifférente à la décrépitude qui l'envahit. Construite en 1863, elle semble d'un autre temps au côté de ce Teatro Reguero , ouvert en 1921, dont la magnifique façade vaut définitivement le coup d'œil. Le Parque Martí est quant à lui affaire récente. Inauguré en 1926, il évoque une autre époque de Morón.


Moins agréable que le Parque Agramonte, en grande partie à cause de la dense circulation automobile qui l'étouffe, il est tout de même entouré de magnifiques constructions de styles éclectique et néoclassique. Le Terminal de Ferrocaril est sans contredit la plus belle construction de la ville. Situé un peu en retrait du Parque Martí, le terminal fut édifié en 1923 et s'orne d'un plafond de verre tout simplement extraordinaire.

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