Le centre des affaires et l'avenue Paulista
Avec son
melting-pot impressionnant, l'avenue Paulista constitue le symbole de
São Paulo. De nombreux bureaux de grandes entreprises, mais aussi des centres
commerciaux, cinémas, galeries d'art et librairies s'y retrouvent, là où se
tenaient autrefois les luxueuses demeures des "barons du
café".
Point central de la ville, c'est là que les
jésuites érigèrent, en 1554, le premier bâtiment de leur mission destiné aux
Indiens. La lente croissance de la ville a eu lieu autour du Pàtio do
Colégio, qui comprend la Chapelle Anchieta et le
Museu Padre Anchieta, aujourd'hui entourés d'édifices, de
boutiques, et de restaurants.
Liberdade, le quartier oriental
Les premiers immigrants
japonais arrivèrent au Brésil vers 1910. Dans le quartier Liberdade, partagé
entre autres avec les Chinois et les Coréens, tout rappelle l'Asie : les
commerçants, les lanternes, l'immense portail... La communauté de São Paulo
représente l'une des plus importantes communautés nipponnes hors du Japon.
Le monastère de São Bento
De style éclectique, le
bâtiment, débuté en 1911 et achevé en 1922, abrite plusieurs sculptures, vitraux
et peintures dignes d'intérêt.
Parque da Independência, Ipiranga, www.mp.usp.br
Idéal pour admirer
des œuvres régionales et comprendre, à travers les tableaux, meubles, voitures,
sculptures et objets exposés, l'évolution du peuple brésilien durant les siècles
derniers.
Museu de Arte de São Paulo
Avenida Paulista 1578, www.masp.art.br
Museu de Arte Sacra
Avenida Tiradentes 676, www.mas.ufba.br
Ce musée d'art sacré possède une très riche collection d'objets de la
période comprise entre les XVIIe et le XXe siècles.
Le football
Le football (soccer) demeure sans contredit
le sport national du Brésil. Il faut absolument assister à un match dans ce pays
pour comprendre que le football peut être un art et se dérouler dans la joie!
Les stades de Pacaembu, Morumbi et
Parque Antartica accueillent différentes équipes nationales et
internationales.
La capoeïra
Plusieurs spectacles de cet art martial brésilien se déroulent un peu partout
dans la ville. Sous l'interdiction des autorités brésiliennes, les esclaves de
Bahia transformèrent la pratique de ce moyen de défense en danse. Cet art
s'exécute aujourd'hui accompagné de chants et d'instruments traditionnels, dont
les tambours et le berimbau, un instrument à cordes.
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