L'objectif de ce site est d'informer les voyageurs. On y parlera des destinations voyages, de transport, d'hébergement, d'équipement, des bons plans et de conseils pratiques pour les voyageurs.
jeudi 29 novembre 2012
Voyage à Sao Paulo: les attraits
Le centre des affaires et l'avenue Paulista
Avec son
melting-pot impressionnant, l'avenue Paulista constitue le symbole de
São Paulo. De nombreux bureaux de grandes entreprises, mais aussi des centres
commerciaux, cinémas, galeries d'art et librairies s'y retrouvent, là où se
tenaient autrefois les luxueuses demeures des "barons du
café".
Point central de la ville, c'est là que les
jésuites érigèrent, en 1554, le premier bâtiment de leur mission destiné aux
Indiens. La lente croissance de la ville a eu lieu autour du Pàtio do
Colégio, qui comprend la Chapelle Anchieta et le
Museu Padre Anchieta, aujourd'hui entourés d'édifices, de
boutiques, et de restaurants.
Liberdade, le quartier oriental
Les premiers immigrants
japonais arrivèrent au Brésil vers 1910. Dans le quartier Liberdade, partagé
entre autres avec les Chinois et les Coréens, tout rappelle l'Asie : les
commerçants, les lanternes, l'immense portail... La communauté de São Paulo
représente l'une des plus importantes communautés nipponnes hors du Japon.
Le monastère de São Bento
De style éclectique, le
bâtiment, débuté en 1911 et achevé en 1922, abrite plusieurs sculptures, vitraux
et peintures dignes d'intérêt.
Parque da Independência, Ipiranga, www.mp.usp.br
Idéal pour admirer
des œuvres régionales et comprendre, à travers les tableaux, meubles, voitures,
sculptures et objets exposés, l'évolution du peuple brésilien durant les siècles
derniers.
Museu de Arte de São Paulo
Avenida Paulista 1578, www.masp.art.br
Museu de Arte Sacra
Avenida Tiradentes 676, www.mas.ufba.br
Ce musée d'art sacré possède une très riche collection d'objets de la
période comprise entre les XVIIe et le XXe siècles.
Le football
Le football (soccer) demeure sans contredit
le sport national du Brésil. Il faut absolument assister à un match dans ce pays
pour comprendre que le football peut être un art et se dérouler dans la joie!
Les stades de Pacaembu, Morumbi et
Parque Antartica accueillent différentes équipes nationales et
internationales.
La capoeïra
Plusieurs spectacles de cet art martial brésilien se déroulent un peu partout
dans la ville. Sous l'interdiction des autorités brésiliennes, les esclaves de
Bahia transformèrent la pratique de ce moyen de défense en danse. Cet art
s'exécute aujourd'hui accompagné de chants et d'instruments traditionnels, dont
les tambours et le berimbau, un instrument à cordes.
Voyage à Sao Paulo: les restaurants
Sujinho
Rua da Consolaçao 2078 ou Avenida Ipiranga 1058, www.sujinho.com.br
Un incontournable pour qui veut vraiment découvrir São Paulo... Ce
restaurant populaire, autrefois appelé "Bar das Putas", parce
que c'était, paraît-il, leur quartier de prédilection, sert la meilleure et la
moins chère des viandes en ville, mais aussi d'excellentes pizzas. Viandes et
poissons grillés sont servis avec manioc frit, polenta ou frites.
Shintori
Alameda Campinas 600, Jardim Paulista,
www.shintori.com.br
Très raffiné, ce restaurant japonais est une
succursale d'une chaîne internationale. Établi dans un bâtiment de style
oriental, avec jardin japonais et salles cloisonnées, l'établissement sert
toutes les spécialités nipponnes.
Consulado Mineiro
Praça Benedito Calixto 74 ou Rua Cônego Eugênio Leite 504,
www.consuladomineiro.com.br
Cuisine paysanne et familiale du Minas,
aux portions généreuses : mandioca com carne de sol (viande salée et
galette de manioc), tutu (échine de porc rôti avec haricots, chou et
riz), feijoada (ragoût d'haricots noirs et de viande). Une adresse très
populaire, jouxtant un marché aux puces plein à craquer les samedis.
Fasano
Rua Vittorio Fasano 88, Hôtel Fasano,
www.fasano.com.br
Restaurant gastronomique réputé dont les menus sont
élaborés par le chef italien Salvatore Loi. Murs de briques et architecture étudiée forment
un décor alliant années 1930 et hautes technologies.
Alfama dos Marinheiros
Rua Pamplona 1285, Jardim Paulista
Cuisine traditionnelle portugaise, servie dans une ambiance paisible et
discrète, le restaurant est irréprochable dans sa catégorie. Essayez la
bacalhau (morue), excellente, et les fruits de mer.
DOM
Barao de Capanema 549, Jardim Paulista
Cuisine créative
alliant plats brésiliens et cuisine internationale, avec un fort penchant pour
les cuisines française et italienne. Le chef Alex Atala a été élu meilleur chef du Brésil en 2003.
Churrascaria Bassi
Rua 13 de Maio 668, Bela Vista
Le royaume de la viande grillée, avec
ambiance chic et files d'attente. Les plats sont copieux.
Almanara
Rua Basilio de Gama 70
Restauration
rapide syro-libanaise d'un côté, restaurant plus chic de l'autre, Almara propose
des falafels, kibbés et autres spécialités.
La Casserole
Largo do Aroucho 346,
Restaurant de cuisine française... tenu par des Belges depuis 50 ans,
avec gigots, escargots au beurre et bons vins, servis dans une ambiance
sophistiquée.
Antiquarius
Alameda Lorena 1884, Jardim Paulista
L'un des meilleurs restaurants portugais en
ville, on y sert beaucoup de poissons, dans une ambiance chic. Le risotto
aux fruits de mer est particulièrement délicieux, de même que les
brochettes de tamboril (lotte).
Voyage à Sao Paulo: les parcs et les plages
PARCS
Parque do Ibirapuera
Avenida Pedro Alvares Cabral
Poumon
vert de São Paulo, ce parc immense permet de s'offrir une pause fraîcheur et de
sentir le pouls de la ville à travers son métissage culturel. Il comporte de
nombreux attraits (lacs, restaurants, monuments, espaces culturels et même une
réplique d'un palais impérial japonais) et une multitude d'activités y sont
possibles : vélo, course à pied, football, promenades, etc.
Jardim Botânico
Avenida Miguel Stéfano 3031,
www.ibot.sp.gov.br
Parque Zoológico de São Paulo
Avenida Miguel Stefano 4241,
www.zoologico.sp.gov.br
Guaruja
Voyage à Sao Paulo: présentation
São Paulo doit sa fondation à une poignée de jésuites qui, en 1554,
établissent la mission São Paulo de Piratininga, à l'usage des Indiens. Gros
bourg rural de 20 000 habitants en 1850, la ville commence sa véritable
expansion grâce à l'exploitation du café autour de 1885. Les "grands
patrons" du café quittent alors leurs plantations, les fazendas,
pour s'installer dans ce qui allait devenir la métropole du Brésil. Aujourd'hui parmi les cinq villes les plus peuplées au monde, São Paulo
héberge à elle seule le quart de la population brésilienne.
Près de 19 millions d'habitants vivent dans la région métropolitaine, une jungle urbaine caractérisée par des minorités culturelles très significatives. Peuplée en grande partie par des émigrants européens et des descendants d'esclaves africains, on y retrouve aussi une forte concentration d'habitants d'origine japonaise et libanaise. À la fois capitale économique, culturelle et gastronomique, Sampa, pour les intimes, atteinte de gigantisme, attire les visiteurs par son animation incessante et ses multiples visages. Les Paulistanosaiment vivre dehors, ce qui contribue nécessairement à l'effervescence urbaine où se côtoient parfois trop souvent luxe et misère.
Près de 19 millions d'habitants vivent dans la région métropolitaine, une jungle urbaine caractérisée par des minorités culturelles très significatives. Peuplée en grande partie par des émigrants européens et des descendants d'esclaves africains, on y retrouve aussi une forte concentration d'habitants d'origine japonaise et libanaise. À la fois capitale économique, culturelle et gastronomique, Sampa, pour les intimes, atteinte de gigantisme, attire les visiteurs par son animation incessante et ses multiples visages. Les Paulistanosaiment vivre dehors, ce qui contribue nécessairement à l'effervescence urbaine où se côtoient parfois trop souvent luxe et misère.
Voyage à Rio de Janeiro: le transport
En avion
Pour le transport aérien, l'aéroport international Antonio Carlos Jobim (www.infraero.gov.br) est situé à 20 km au nord du centre de la
ville, dans l'Ilha do Gobernador. Taxis et bus relient l'aéroport à la ville,
mieux vaut cependant payer sa course à l'avance (avec le service
"prépayé") afin d'éviter les mauvaises surprises. En outre, la
plupart des vols domestiques transitent par l'aéroport Santos Dumont
, situé tout près du centre de Rio, à 1 km de la station de métro
Cinelândia.
En transport en commun
Bien que la ville dispose de deux lignes de métro ainsi que d'un réseau de
trains, les déplacements s'y font surtout en bus, taxi et voiture. Différentes
embarcations relie Rio de Janeiro aux multiples îles parsemant la baie de
Guanabara.
Voyage à Rio de Janeiro: les attraits
Pain de Sucre (Pão de Açúcar)
Symbole de la
ville depuis sa fondation, ce piton de granite de 395 m s'avançant sur la baie
de Guanabara doit sa popularité et son nom à sa forme singulière. Alors que les
autochtones le désignaient Pau-nd-Acuqua (signifiant "sommet isolé en
pointe"), les Portugais y ont plutôt compris pão de açúcar ,
la forme du rocher leur rappelant les moules d'argile utilisés pour fabriquer
les cônes de sucre, appelés "pains". L'ascension se fait en
deux temps. Depuis la Praia Vermelha, le téléphérique gravit d'abord le Morro da
Urca avant de rejoindre le sommet du Pain de Sucre. La vue, surprenante, permet
d'embrasser la beauté de la ville. Aux pieds du Pain de Sucre, s'étendent les
quartiers de Botafogo et de Flamengo tandis que le Christ Rédempteur perché sur le Morro Corcovado se dresse
plus loin. Du côté opposé, s'étirent langoureusement les plages de Rio, cernées
entre la mer et les montagnes, alors que, face à Rio, la ville de Niterói soumet
la baie de Guanabara.
Veillant sur Rio, de nuit comme de jour, la célèbre statue du Chris Redempteur (Cristo Redentor), les bras
ouverts en croix, dresse ses 38 m de hauteur sur le pic du Corcovado, lui-même
haut de 710 m. C'est en 1931 que l'œuvre, due à la collaboration de l'ingénieur
brésilien Silva Costa et du sculpteur français Paul Landowski, vient
surplomber Rio et rejoindre le Pain de Sucre comme symbole de la ville.
L'ascension peut se faire en voiture, en bus ou, infiniment plus pittoresque, en
train (les départs se font depuis le quartier de Cosme Velho). La vue du sommet est aussi impressionnante que
celle qu'offre le Pain de Sucre. Toutefois, en plus d'y apercevoir tout Rio, les
favelas et le Lagoa Rodrigo de Freitas, on est aux premières loges pour
admirer le... Pain de Sucre.
Sambodrome Marquês de Sapucaí ou Passerelle de la Samba
(Passarela do Samba)
En 1984, le célèbre architecte Oscar Niemeyer transforme un segment de 700 m de long de
l'Avenue Marquês de Sapucaí en une structure monumentale dont le principal but
est de se convertir en lieu de festivités lors du fameux Carnaval de Rio. C'est
ici que défilent désormais les meilleures écoles de samba du monde sur de
magnifiques carrosses rivalisant d'originalité. Le Sambodrome consiste en une
succession de tribunes à ciel ouvert de plus de 12 m de large, pouvant
accueillir jusqu'à 88 500 personnes.
Baie de Guanabara
Différents ferries,
aéroglisseurs et goélettes proposent des excursions dans la baie de Guanabara.
Ils permettent d'admirer de plus près les deux forteresses des XVIIe et XIXe
siècles, sentinelles de la baie et de Rio de Janeiro.
Vous pourrez aussi rejoindre la ville de Niterói, abritant le Museu de Arte Contemporânea (Musée d'Art Contemporain) avec sa forme de soucoupe volante, ou l'une des 84 différentes îles de la baie.
Museu Chácara do Céu
Vous pourrez aussi rejoindre la ville de Niterói, abritant le Museu de Arte Contemporânea (Musée d'Art Contemporain) avec sa forme de soucoupe volante, ou l'une des 84 différentes îles de la baie.
Rua Murtinho Nobre, 93
Convertie en musée, la superbe demeure du mécène
Raymundo Ottoni de Castro Maia (1894-1968) héberge une collection d'œuvres d'art
diversifiés se laissant découvrir au milieu d'un mobilier des XVIIe et XIXe
siècles. Les œuvres des peintres brésiliens, dont Di Calvacanti, Visconti et
Cândido Portinari, ainsi que celles de Picasso, Dalí, Matisse, Modigliani et
Monet retiennent le plus l'attention. Les collections de peintures orientalistes
et de cartes géographiques du Brésil, datant des XVIIe et XVIIIe siècles, valent
certainement le coup d'œil. Située dans le pittoresque quartier Santa Teresa, la
villa dispose aussi d'un parc offrant un magnifique point de vue sur la baie
Guanabara.
Voyage à Rio de Janeiro: les restaurants
Confeitaria Colombo
Rua Gonçalves Dias, 32
Avec son
décor rappelant les cafés viennois du début du XXe siècle, la Confeitaria Colombo est une institution à Rio. Construit en
1894, ce spacieux tearoom a conservé ses volutes, boiseries, moulures
et, surtout, son style d'autrefois, pour le plaisir des yeux. On se croirait
dans le Rio de la Belle Époque. On y sert sandwichs et des salades.
Bistro do Paço
Praça 15 de Novembre, 48
Pour se reposer de l'agitation du Centro de Rio, faites une pause dans
ce charmant oasis situé dans la cour intérieure du Praço Imperial (palais impérial). La clientèle habituelle
vient y déguster des mets élaborés (viandes et pâtes) ou plus légers (sandwichs
et quiches) près d'une jolie fontaine.
Restaurante Alba Mar
Praça Marechal Âncora, 186, près de Praça 15 de Novembro
Situé en bord de mer dans le Centro, cet étrange édifice
octogonal offre un panorama à 360° sur l'ilha Fiscal et le pont reliant Rio à
Niterói. Coiffé d'un toit en forme de dôme, on raconte qu'il abritait autrefois
un marché public avant d'être converti en restaurant pour notre plus grand
plaisir. Il propose des fruits de mer au menu.
Churrascaria Porcão
Rua Barão da Torre
Situé dans le
quartier Ipanema, ce restaurant demeure le rendez-vous des carnivores. Il s'agit
de la plus célèbre churrascaria (grill) de Rio. On y mange à volonté...
de la viande de qualité et fort bien apprêtée, et accompagnée d'un copieux
buffet. Gardez votre appétit pour la fin, puisque c'est à ce moment que les
serveurs vous présenteront les plus tendres et meilleurs morceaux.
Voyage à Rio de Janeiro: les parcs et les plages
PARCS
Forêt de Tijuca ( Floresta da Tijuca )
La plus
grande forêt urbaine au monde côtoie les falaises du Corcovado ainsi que les
différents quartiers de Rio de Janeiro et s'étend presque au cœur même de la
ville. La superficie de la Floresta da Tijuca est d'environ 3200 ha regroupant
plusieurs centaines d'espèces de la flore et de la faune, typiques de la
"Mata Atlantica", la forêt atlantique. Différents sentiers
permettent d'admirer sa diversité.
Parque Nacional da Serra dos Órgãos
Situé à environ une
heure de route au nord de Rio de Janeiro, le parc national da Serra dos Órgãos
permet de se reposer de l'agitation urbaine pour profiter de l'air de la
montagne. L'entrée du site se trouve près de la ville de Teresópolis et du
fameux pic le Dedo de Deus ("doigt de Dieu"), dont la forme
rappelle celle d'une main dont l'index serait tendu vers le ciel. Le parc,
ponctué de sommets et de pics et recelant une variété d'oiseaux, dispose de
nombreux sentiers balisés s'étendant sur 118 km². Au milieu de la flore de la
Mata Atlantica se cachent des cascades et des piscines naturelles.
PLAGES
Pour les Cariocas, la praia ("plage") est non
seulement un lieu de détente, mais également une philosophie. Étudiées de près
par certains sociologues, les plages de Rio recréent en quelque sorte la société
en miniature. Elles s'avèrent plus démocratiques cependant, puisqu'elles sont
accessibles à tous et gratuites.
On trouve à Rio 25 plages qui possèdent chacune des traits particuliers. Vous trouverez certainement à Rio la plage qui vous fera chavirer. Copacabana, avec son croissant parfait et doré s'étalant sur 5 km tout près du Centro, demeure la plus mythique et la préférée des touristes. Ipanema , plus sophistiquée et branchée, est aussi la plage du Brésil où le port du monokini est le plus en vogue.
On trouve à Rio 25 plages qui possèdent chacune des traits particuliers. Vous trouverez certainement à Rio la plage qui vous fera chavirer. Copacabana, avec son croissant parfait et doré s'étalant sur 5 km tout près du Centro, demeure la plus mythique et la préférée des touristes. Ipanema , plus sophistiquée et branchée, est aussi la plage du Brésil où le port du monokini est le plus en vogue.
Voyage à Rio de Janeiro: présentation
Lovée entre mer et montagnes, Rio de Janeiro s'étend sur un site enchanteur,
où se succèdent de bouleversants reliefs. Les morros , fameuses
collines caractéristiques de sa morphologie, surgissent de la terre et de l'eau
selon un désordre que l'on croirait étudié. Avec ses plages de sable doré, ses
panoramas grandioses, cette géographie à couper le souffle, on comprend que les
Cariocas soient particulièrement fiers de leur ville. Lorsqu'en janvier 1502, les Portugais atteignent la baie de Guanabara, ils
croient découvrir l'embouchure d'une rivière, ce qui vaudra son nom au lieu :
Rio de Janeiro ("Rivière de Janvier"). À la fondation
de la ville en 1565, on la nommera en l'honneur du roi du Portugal, Sébastien
1er, "São Sebastião do Rio de Janeiro". Au moment de
l'invasion du Portugal par Napoléon, en 1807, la famille royale portugaise
s'établira à Rio de Janeiro.
La ville deviendra, pour un moment, la capitale du royaume portugais et l'unique capitale européenne hors du continent de l'Histoire. En 1960, Brasilia, la nouvelle ville crée de toutes pièces au milieu de l'Amazonie, vole à Rio son titre de capitale nationale. Aujourd'hui, Rio de Janeiro demeure la capitale de l'État de Rio de Janeiro (situé au sud-est du Brésil) ainsi que la capitale culturelle du pays. Avec une population de plus de six millions d'habitants, elle est la plus grande ville du Brésil après São Paulo. Depuis plus d'un siècle, la migration de la campagne à la ville a mené à la création des favelas (bidonvilles) s'accrochant, se superposant et défiant le vide, depuis les hauteurs des morros de Rio de Janeiro. La ville reflète bien la principale dualité du Brésil, entre richesse et pauvreté. Rio de Janeiro est la première destination touristique de l'Amérique du Sud. Bien qu'elle offre de beaux monuments et quartiers coloniaux à visiter, on ne va généralement pas à Rio pour s'engouffrer dans ses édifices mais plutôt afin de profiter de son rythme de vie qui se module entre les plages, le Centro (centre-ville), le Carnaval, le son de la samba et la caipirinha (boisson brésilienne à base d'eau-de-vie de canne à sucre et de citron vert).
La ville deviendra, pour un moment, la capitale du royaume portugais et l'unique capitale européenne hors du continent de l'Histoire. En 1960, Brasilia, la nouvelle ville crée de toutes pièces au milieu de l'Amazonie, vole à Rio son titre de capitale nationale. Aujourd'hui, Rio de Janeiro demeure la capitale de l'État de Rio de Janeiro (situé au sud-est du Brésil) ainsi que la capitale culturelle du pays. Avec une population de plus de six millions d'habitants, elle est la plus grande ville du Brésil après São Paulo. Depuis plus d'un siècle, la migration de la campagne à la ville a mené à la création des favelas (bidonvilles) s'accrochant, se superposant et défiant le vide, depuis les hauteurs des morros de Rio de Janeiro. La ville reflète bien la principale dualité du Brésil, entre richesse et pauvreté. Rio de Janeiro est la première destination touristique de l'Amérique du Sud. Bien qu'elle offre de beaux monuments et quartiers coloniaux à visiter, on ne va généralement pas à Rio pour s'engouffrer dans ses édifices mais plutôt afin de profiter de son rythme de vie qui se module entre les plages, le Centro (centre-ville), le Carnaval, le son de la samba et la caipirinha (boisson brésilienne à base d'eau-de-vie de canne à sucre et de citron vert).
Voyage à Santiago: le transport
En avion
L' Aeropuerto de Santiago (www.aeropuertosantiago.cl) est le lieu d'arrivée et de départ de la
plupart des vols desservant le Chili. Il est situé à 26 km au nord-ouest du
centre-ville de Santiago.
En train
Tous les trains de voyageurs au départ de Santiago desservent uniquement le
sud du pays. Les trains partent de l'Estación Central, située
sur Alameda 3170, à environ 3 km à l'ouest du centre-ville. Il existe également
une billetterie dans le centre-ville, à l'intérieur de la station de métro
Universidad de Chile (local 10).
En autocar
La plupart des autocars au départ de Santiago partent du Terminal
Alameda (Alameda 3750) et du Terminal Buses Estación
Central (Alameda 3850), à proximité l'un de l'autre. Les deux
gares se trouvent à environ 4 km à l'ouest du centre-ville, et sont reliées par
un passage souterrain à la station de métro Universidad de Santiago.
En voiture
Le centre-ville tend à devenir très encombré en semaine et pas seulement aux
heures de pointe. Les taxis et les transports en commun s'imposent dès lors souvent comme des
solutions de déplacement plus sensées.
En transport en commun
Le chemin de fer urbain de Santiago, désigné du nom de metro,
s'impose comme l'un des systèmes de transport en commun les plus agréables du
monde. Les stations sont colorées et aérées, et les voitures roulent sur
pneumatiques. Les autobus jaune vif et blancs de Santiago sont facilement reconnaissables.
Des centaines de lignes relient les coins les plus éloignés de la ville et font
ainsi concurrence au métro.
En taxi
Des milliers de taxis sillonnent les rues de Santiago à des tarifs supérieurs
à la moyenne latino-américaine, quoique inférieurs à ceux de la plupart des
villes d'Amérique du Nord ou d'Europe de l'Ouest.
À pied
Les distances dans le centre-ville et certains autres secteurs de Santiago
favorisent les visites à pied, d'autant que plusieurs rues importantes du
centre-ville sont exclusivement réservées aux piétons.
Voyage à Santiago: les attraits
Le centre-ville de Santiago est une zone triangulaire délimitée par le Río
Mapocho au nord, l'Alameda au sud et l' autopista nord-sud à l'ouest
couvre le cœur de la ville.
Les rues exclusivement piétonnières , élégamment revêtues de
pierres blanches et grises disposées en bandes alternées, bourdonnent
d'activité. Ce réseau se compose essentiellement de trois rues: le Paseo
Ahumada, qui s'étend de l'Alameda à la Plaza de Armas (avec un
prolongement nord légèrement plus modeste jusqu'au Mercado Central, dans la Calle Puente), la Calle
Estado, parallèle au Paseo Ahumado, et le Paseo Huérfanos, qui le croise et franchit une grande partie du centre-ville entre la
Calle MacIver (près du Cerro Santa Lucía) à l'est et la Calle Teatinos quelques
centaines de mètres plus à l'ouest.
La Plaza de Armas est le cœur traditionnel de la ville, un
joli square garni d'arbres, de fontaines et de monuments où les familles aiment
se promener. Parmi les bâtiments qui font face à la place, il convient de
mentionner l'Iglesia Catedral, une église néoclassique érigée
entre 1748 et 1789, dont l'intérieur révèle trois nefs ainsi que de nombreuses
peintures et incrustations en or.
Du côté sud de la cathédrale se dresse le Museo de la Catedral, qui présente des images, des peintures et des documents à caractère religieux.
Du côté sud de la cathédrale se dresse le Museo de la Catedral, qui présente des images, des peintures et des documents à caractère religieux.
Trois bâtiments occupent la face nord de la Plaza de Armas. Il s'agit du
Correo Central , du Municipalidad de Santiago
et, entre les deux, du Palacio de la Real Audiencia.
Ce dernier est aujourd'hui le Museo Histórico Nacional qui offre un bon aperçu de
l'histoire chilienne depuis l'ère préhispanique.
À l'angle des rues Merced et MacIver, la Basílica de la Merced , un
édifice du XVIIIe siècle, révèle trois nefs parallèles, une chaire en bois
admirablement sculptée, diverses œuvres d'art et un nombre étonnant de tablettes
en pierre gravées.
Le Palacio Real Casa de Aduana , l'ancienne maison de la
douane datant de 1807, est aujourd'hui devenu le siège du Museo Chileno
de Arte Precolombino (Bandera 361, angle Compañía, (www.precolombino.cl), qui expose des pièces archéologiques
provenant de différentes régions du Chili ainsi que du Mexique.
Voyage à Santiago: les restaurants
Centre-ville
Bristol
Hotel Plaza San Francisco Alameda 816
Le Bristol, aménagé à l'intérieur de l'Hotel Plaza San
Francisco, est le restaurant le plus élégant du centre-ville.
Restaurant Les Assassins
Merced 297-B, angle
Lastarria
Le Restaurant Les Assassins présente un menu français
comprenant des viandes aux sauces variées, de la blanquette de veau, des tripes
à la mode de Caen, des coquilles Saint-Jacques et un assortiment de salades.
Donde Augusto
marché central,
Pour les grands amateurs de fruits de mer, rien ne surpasse vraiment le
mercado centra l (marché central), qui se trouve à trois rues au nord
de la Plaza de Armas. Réputé le meilleur du marché, le restaurant Donde Augusto offre un choix délectable de plats de poisson et
de fruits de mer, servis nature ou garnis d'une variété de sauces.
Providencia et Las Condes
Otaki
Isidora Goyenechea 3280,
Ce
restaurant simple est considéré comme l'un des meilleurs en cuisine japonaise.
Il offre une variété de sushis et de nigiris, ainsi que des
plats teriyakis.
La Cascade
Isidora Goyenechea 2930
Cet établissement chic, moderne et élégant, avec petit jardin,
propose aussi bien des mets faisant la synthèse des styles français et chilien
(par exemple, oursins ou vol-au-vent au crabe comme entrée) que des plats
traditionnels français, comme le coq au vin, le bœuf bourguignon et le
tournedos.
Voyage à Santiago: les parcs et espaces verts
PARCS
Centre Ville
Le Cerro Santa Lucía a été aménagé et converti en parc
urbain dans les années 1870 grâce au labeur de prisonniers soumis aux travaux
forcés. On y accède par un escalier monumental depuis la Plaza Vicuña Mackenna, aux abords de l'Alameda (tout juste à
l'est de la station de métro Santa Lucía). Il est cependant recommandé de
visiter les lieux à la lumière du jour et en s'en tenant aux principaux
sentiers.
Le Parque Forestal débute dans les environs du Mercado Central à l'ouest et s'étire sur à peu près 2 km vers
l'est, jusqu'au pont de l'Avenida Pío Nono et au cœur du quartier de Bellavista.
C'est un long parc étroit qui longe le Río Mapocho sur une distance
considérable. Il recèle des jardins bien entretenus, de belles rangées d'arbres
d'essences diverses, des sentiers judicieusement tracés et des bancs à
profusion.
Parque Metropolitano
Le Parque Metropolitano
abrite entre autres un zoo et couvre l'ensemble du Cerro San
Cristóbal, qui fait partie des contreforts andins et empiète sur le
territoire de Santiago. Désigné du nom de Tupahue par les Mapuches, il
culmine à 880 m au-dessus du niveau de la mer, ou à 320 m au-dessus de la Plaza
de Armas du centre-ville, et présente des vues saisissantes sur la capitale et
ses environs.
Bien qu'il soit possible d'atteindre le sommet de cette haute colline en voiture, il s'avère beaucoup plus intéressant de prendre le téléphérique (teleférico) qui franchit une partie de la distance qui sépare la base du sommet puis le funiculaire (funicular). On effectue un arrêt intermédiaire à l'Estación Tupahue, où vous attendent une piscine creusée parmi les rochers et un centre culturel. Les vues aériennes sont à couper le souffle!
Bien qu'il soit possible d'atteindre le sommet de cette haute colline en voiture, il s'avère beaucoup plus intéressant de prendre le téléphérique (teleférico) qui franchit une partie de la distance qui sépare la base du sommet puis le funiculaire (funicular). On effectue un arrêt intermédiaire à l'Estación Tupahue, où vous attendent une piscine creusée parmi les rochers et un centre culturel. Les vues aériennes sont à couper le souffle!
Voyage à Santiago: présentation
Santiago domine le Chili à presque tous les égards. Sa population de 7
millions d'habitants dans son agglomération représente plus du tiers de celle du
pays tout entier. Elle s'impose comme la capitale administrative du Chili et
demeure sa véritable capitale politique, même si le Congrès siège désormais à
Valparaíso. Les hautes montagnes qui se dressent au nord et à l'est lui confèrent un
cadre imposant. Une petite rivière, la Mapocho, la traverse d'est en ouest, et
la ville, située au cœur même de la vallée transversale du centre du pays,
s'étire sur une pente légère.
La Plaza de Armas, au centre de la ville, culmine pour sa part à une altitude de 543 m. Santiago se laisse facilement découvrir et ne correspond nullement à l'image chaotique qu'on se fait généralement des grandes zones urbaines d'Amérique latine. L'architecture du centre-ville se révèle plutôt terne et grise, jolie mais en rien éblouissante, comme pour dire qu'il n'est nul besoin de se donner des airs. Après tout, les Chiliens sont d'abord et avant tout pragmatiques!
La Plaza de Armas, au centre de la ville, culmine pour sa part à une altitude de 543 m. Santiago se laisse facilement découvrir et ne correspond nullement à l'image chaotique qu'on se fait généralement des grandes zones urbaines d'Amérique latine. L'architecture du centre-ville se révèle plutôt terne et grise, jolie mais en rien éblouissante, comme pour dire qu'il n'est nul besoin de se donner des airs. Après tout, les Chiliens sont d'abord et avant tout pragmatiques!
Voyage à Lima: le transport
En avion
La plupart des touristes qui arrivent au Pérou par voie aérienne atterrissent
à Lima à l' aéroport international Jorge Chávez
(www.lap.com.pe), situé à 16 km à l'ouest du centre historique de Lima.
Pour se rendre au centre-ville, le taxi est l'option la plus simple, mais pas la
moins coûteuse. Il existe également un service d'autobus (Urbanito)
qui dessert le centre-ville et les quartiers de Pueblo Libre, de San Isidro et de Miraflores.
En taxi
Les taxis n'utilisent pas d'odomètre. Le prix de la course doit être
déterminé d'un commun accord entre les parties avant le départ, puisque
n'importe qui peut s'improviser chauffeur de taxi et qu'aucune réglementation
tarifaire officielle n'est en vigueur. Pour les identifier facilement, les
pare-brise des taxis affichent un autocollant coloré où l'on peut lire
clairement le mot "Taxi". Certains taxis désignés familièrement sous le nom de colectivos
suivent une route fixe et font également office de transport en commun.
Comme leur nom l'indique, les colectivos prennent autant de passagers
que peut contenir le véhicule, et le prix de la course est plus économique que
le taxi.
En autobus
L'autobus est lent, mais constitue le moyen le plus économique pour transiter
à Lima et offre plusieurs trajets pour se rendre de Lima Centro jusqu'à Barranco. Il y a deux catégories de
véhicules : d'une part, les autobus que tout le monde connaît, et d'autre part,
les combis , plus petits que leurs homologues traditionnels.
En voiture
Il est déconseillé de conduire vous-même dans la ville. La circulation y est
fort anarchique, les règles de conduite élémentaires sont inappliquées, la
signalisation fait souvent défaut, et la ville s'est développée sans aucun plan
préétabli.
Voyage à Lima: les attraits
La Plaza de Armas de Lima, à l'époque de sa création, était
un endroit ravissant où logeaient les pouvoirs municipaux, vice-royaux et
religieux. Aujourd'hui, ce symbole d'implantation espagnol, sis au cœur de Lima
Centro, a certes perdu de son lustre en raison des séismes et de la croissance
démographique galopante de l'agglomération, mais elle reste sans conteste un
haut lieu historique. On y retrouve le palais présidentiel , la
cathédrale et la mairie.
Dispersées autour de la Plaza de Armas se trouvent de très belles maisons
coloniales. Au nord, la Casa Aliaga (Jr. de la Unión 224) renferme d'élégants vestiges du passé dont, au dire de certains, le plus
ancien plafond de la ville. Au sud, on peut admirer le Palacio Torre
Tagle (Ucayali 358), aujourd'hui occupé par le ministère des
Affaires étrangères, qui arbore une façade magnifiquement ornée de deux balcons
ajourés en bois, richement travaillés.
El Palacio del Gobierno, situé au nord de la Plaza de Armas, présente une énorme façade baroque achevée en 1938. La résidence du président de la République se trouve, sous forte protection, retirée à l'arrière du palais. Le changement de la garde s'effectue avec solennité du lundi au samedi vers 11h30.
El Palacio del Gobierno, situé au nord de la Plaza de Armas, présente une énorme façade baroque achevée en 1938. La résidence du président de la République se trouve, sous forte protection, retirée à l'arrière du palais. Le changement de la garde s'effectue avec solennité du lundi au samedi vers 11h30.
La Plaza de Armas est reliée à la Plaza San Martín par le
Jirón de la Unión, une rue étroite mais très animée de la vieille ville. La
Plaza San Martín fut construite en 1921, quelque 100 ans après la déclaration
d'indépendance du général San Martín. Les édifices qui l'entourent ont un style
architectural néoclassique.
L'Iglesia Conventual San Francisco (Jr. Lampa, à
l'angle d'Ancash) fut l'un des rares sanctuaires à résister aux séismes de
1687 et de 1746 et demeure l'un des plus beaux spécimens de l'architecture du
XVIIe siècle. Son élégante façade baroque est mise en valeur par deux jolies
tours de pierre s'élançant fièrement vers le ciel et son intérieur renferme
plusieurs retables richement travaillés ainsi que des toiles peintes à l'époque
coloniale. Les visiteurs sont surtout attirés par les ténébreuses catacombes qui
constituent la crypte du temple.
Le Museo Nacional de Arqueología, Antropología e Historia del Perú
(Plaza Bolívar), situé dans le quartier de
Pueblo Libre, présente au public la quintessence de l'histoire péruvienne,
depuis les origines jusqu'à l'époque moderne, grâce à différentes salles
d'exposition qui permettent aux visiteurs de se familiariser avec les nombreuses
cultures qui se sont peu à peu fondues entre elles au cours des âges pour former
le Pérou d'aujourd'hui. La visite de ce musée est à n'en pas douter fort
intéressante et très utile avant d'aller explorer les autres lieux historiques
du pays.
Le Museo Larco (www.museolarco.org) abrite de nombreuses pièces archéologiques en terre
cuite qui constituent une imposante collection de poteries appelées huacos
. Au total, environ 80 000 objets de céramique furent exhumés, au cours des
fouilles licites ou illicites, des nombreux cimetières pré-incas disséminés à
travers le désert côtier.
Voyage à Lima: les restaurants
L'Eau Vive
Ucayali 370
L'Eau Vive fait face au Palacio Torre Taggle. Il s'agit sans
doute d'un des restaurants les plus intéressants de Lima; la nourriture est
fraîchement préparée par des religieuses françaises qui chantent
l'Ave Maria après les repas. Il y a un menu du jour à prix économique, et les profits sont versés à des œuvres de charité.
l'Ave Maria après les repas. Il y a un menu du jour à prix économique, et les profits sont versés à des œuvres de charité.
José Antonio
Calle Bernado Monteagudo 200
Fréquenté
surtout par des gens d'affaires qui viennent savourer des plats typiques comme
les anticuchos de corazón et les papas rellenas, le splendide
restaurant José Antonio prépare, selon l'avis de plusieurs, les
meilleures spécialités créoles en ville. Le décor est feutré, le service est
bon, la nourriture excellente et les prix en conséquence.
Cebichería Don Beta
José Gálvez 667
Comme son nom
l'indique, la Cebichería Don Beta concentre son menu sur les ceviches bien
relevés. La carte propose aussi des tiraditos, des escabeches
et des calmars frits tendres et parfumés. La salle à manger agréable est
décorée avec des maquettes de bateau.
Brujas de Cachiche
Av. Bolognesi 472
Brujas de Cachiche se présente comme une superbe vieille maison
transformée en l'un des meilleurs restaurants en ville. Différentes spécialités
locales composent le menu imaginatif et sont servies par un personnel discret et
efficace. Lomo saltado, tiraditos, lenguado et
arroz con mariscos ne sont que quelques exemples des plats que vous
pourrez y déguster.
La Costa Verde
Playa Barranquito
De l'avis de
plusieurs, le restaurant La Costa Verde mérite le titre de la meilleure table de Lima.
Dans cet établissement situé en bordure de plage, on vous propose de goûter au
plantureux buffet. Il va sans dire que c'est une adresse à retenir pour ceux et
celles qui recherchent l'expérience culinaire et qui n'ont aucune contrainte
budgétaire.
El Señorio de Sulco
Malecón Cisneros 1470 au bout de l'Av. Pardo
Tant pour l'ambiance que le décor, la nourriture et le service, El
Señorio de Sulco figure parmi les restaurants préférés de Lima. Offrant une vue
de la mer allant se perdre à l'horizon (si la météo le permet) et des mets
créoles de qualité hors pair, tout concourt à faire de ce restaurant un
véritable délice des sens.
Voyage à Lima: parcs et espaces verts
PARCS
El Parque del amor, dans le quartier animé et huppé de
Miraflores, ressemble à un grand jardin espagnol avec ses
arbres, ses fleurs et la statue géante de deux amants entrelacés.
Très fréquenté par les promeneurs romantiques qui cherchent à échapper momentanément au brouhaha de la ville, ce parc offre en prime une jolie vue de la mer.
Très fréquenté par les promeneurs romantiques qui cherchent à échapper momentanément au brouhaha de la ville, ce parc offre en prime une jolie vue de la mer.
Voyage à Lima: présentation
Située sur la rive du Río Rimac, la ville de Lima est parfois désignée
la "Ville des Rois". C'est en effet la veille de la fête de l'épiphanie, le 5
janvier 1535, que Francisco Pizarro, conquistador espagnol, traça les premiers
plans de la Plaza de Armas avant que la ville ne fût officiellement
fondée le 18 janvier 1535 de la même année. Lima figurait parmi ces ravissantes cités espagnoles qui faisaient
l'envie de bien des gens. De splendides constructions coloniales bordaient ses
rues, offrant à la vue une harmonieuse perspective, sauf en certains endroits où se dressaient des édifices encore plus
magnifiques avec pignon sur deux rues. Au cours des siècles, elle fut convoitée, attaquée, blessée, assiégée, violée, mutilée, mise à sac et à demi
ruinée.
Il va sans dire que le résultat fut catastrophique. Aujourd'hui, la capitale du Pérou, court dans toutes les directions où grouillent environ neuf millions d'habitants, soit un peu moins de la moitié de la population du Pérou. Par rapport à sa splendeur passée, Lima n'est plus qu'une agglomération, noyée environ cinq mois par année dans un brouillard appelé garúa. Toutefois, elle parvient encore à enflammer l'imagination des visiteurs nostalgiques qui aiment déambuler dans ses vieux quartiers ayant gardé un parfum de l'ère coloniale, celui d'une époque faste. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que son centre historique fut ajouté à la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco. De plus, elle possède les meilleurs musées du pays, les meilleurs hôtels et restaurants, et sait en outre se mettre en fête à l'occasion pour se pencher sur sa riche histoire.
Il va sans dire que le résultat fut catastrophique. Aujourd'hui, la capitale du Pérou, court dans toutes les directions où grouillent environ neuf millions d'habitants, soit un peu moins de la moitié de la population du Pérou. Par rapport à sa splendeur passée, Lima n'est plus qu'une agglomération, noyée environ cinq mois par année dans un brouillard appelé garúa. Toutefois, elle parvient encore à enflammer l'imagination des visiteurs nostalgiques qui aiment déambuler dans ses vieux quartiers ayant gardé un parfum de l'ère coloniale, celui d'une époque faste. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que son centre historique fut ajouté à la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco. De plus, elle possède les meilleurs musées du pays, les meilleurs hôtels et restaurants, et sait en outre se mettre en fête à l'occasion pour se pencher sur sa riche histoire.
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